Accueil        Séances plénières         Tables des matières         Biographies         Livres numérisés     Bibliographie et liens      Note d’intention

 

DSCN8343DE STASSART Goswin (1780-1854)

 

 

 

 

 

 

 

 

DE STASSART Goswin, Joseph, Augustin, né en 1780 à Malines, décédé en 1854 à Bruxelles.

Age en 1830 : 50 ans

Congressiste (1830-1831, Namur)

 

 

Biographie

Interventions au cours de la session 1830-1831 (Congrès national)

 

 

BIOGRAPHIE

 

(Extrait de E. de BORCHGRAVE, Biographie nationale de Belgique, t. XXIII, 1921-1924, col. 684-692)

Stassart (Goswin-Joseph-Augustin, baron de), diplomate, administrateur, homme politique, littérateur, né à Malines, le 2 septembre 1780, mort à Bruxelles, le 10 octobre 1854. Il était issu d'une ancienne famille d'origine belge qui s'était distinguée depuis Philippe le Bon dans la carrière des armes et dans la magistrature, et dont le nom est inscrit avec honneur dans les fastes du grand Conseil de Malines, du Conseil privé sous Marie-Thérèse, du Conseil d'Etat et du Conseil de Namur. Son père était Jacques-Joseph-Augustin, vicomte de Noirmont (voir plus loin.) Goswin-Joseph-Augustin fit ses humanités au collège de Namur et se rendit à Paris en 1802. Ses succès à la faculté de droit où des prix de procédure criminelle, de plaidoirie et d'éloquence lui furent décernés, attirèrent sur lui l'attention du gouvernement impérial. Dès le 5 août 1804, un décret le nommait auditeur près le Conseil d'Etat et le Ministère de l'intérieur.      . ;

En décembre 1805, il fut envoyé à Innsbruck, comme intendant du Tyrol et du Vorarlberg. Il y fit preuve de brillantes qualités administratives, ce qui lui valut des preuves non équivoques de la gratitude des populations. Il sut prévenir par de sages mesures des révoltes dans le Tyrol et parvint à sauver le beau musée d'Ambras, près d'Innsbruck. Les Etats du pays lui envoyèrent en 1807, un brevet de membre héréditaire de leur Ordre équestre, En juillet 1806, il fut chargé d'une mission militaire, et en octobre de la même année, le Ministre des finances Gaudin le chargea de l'examen du cadastre à Liége. Il passa ensuite tour à tour aux intendances de Varsovie, d'Elbing, de Tilsitt, rétablissant la police et assurant la sécurité des routes, rendant par là des services signalés à l'armée française ; recevant en même temps des témoignages d'estime et de regret des habitants. Ceux-ci le prièrent d'accepter des lettres de bourgeoisie lorsqu'il partit pour Kœnigsberg où il donna une rare preuve de désintéressement, en refusant d'accepter 10.000 ducats qui lui étaient offerts par cette ville en reconnaissance d'un service : il avait obtenu que la contribution de 8,000,000 de francs, imposée en argent à la ville, fût supportée par la province entière. Puis, intendant de la Prusse Occidentale, à Marienwerder, et de la Marche de Brandebourg, à Berlin, il déploya autant de prudence que d'énergie lorsque la paix publique fut menacée à l'occasion d'une disette. Le 12 juillet 180'7, il fut récompensé par la Croix de la Légion d'honneur.

Après la conférence d'Erfurt, qui amena l'évacuation des Etats prussiens, Stassart fut envoyé comme sous-préfet à Orange (1809), puis à Vaucluse (1810). Là aussi, il ,se distingua et laissa des souvenirs durables. Il y érigea à ses frais un monument au bienfaiteur de la ville d'Orange, l'évêque du Tillet, et fonda un prix à l'athénée pour l'éloge de Pétrarque. La bibliothèque d'Orange, il laquelle il donna 3,000 volumes, et, une promenade qui reçut le nom de promenade Stassart, furent aussi au nombre de ses créations. C'est à ce moment qu'il épousa (20 décembre 1810) Caroline-Gabrielle-Jeanne du Mas, comtesse de Peysac, née à Paris le 4 novembre 1784.

La situation de la Hollande mécontentait Napoléon (1811). A La Haye, l'esprit d'opposition contre le régime français gagnait du terrain. Sur l'avis du ministre de l'Intérieur, l'Empereur envoya Stassart comme intendant à La Haye. Ses plus constants et ses plus sages efforts échouèrent en face d'une haine grandissante contre l'étranger. Toutefois, Stassart ne quitta La Haye que sur un ordre exprès venu de Paris, après la bataille de Leipzig. Lorsque la fortune délaissa les aigles impériales, Stassart resta fidèle à ses serments. En mars 1814, pendant le siège de Paris, il fit le service d'officier supérieur d'ordonnance du roi Joseph.

Après la chute de Napoléon, l'empereur d'Autriche se souvenant des services rendus par Stassart à Innsbruck, lui donna la clef de chambellan. Il s'apprêtait à revenir en Belgique lorsqu'il apprit le brusque retour de l'île d'Elbe. Sa résolution fut tôt prise de rentrer à Paris et il s'y retrouva le 26 mars 1815. Napoléon le chargea d'une mission de paix auprès de l'empereur d'Autriche ; il s'agissait de maintenir le traité de Paris. La police autrichienne ayant refusé de laisser Stassart pénétrer au delà de Linz, il expédia ses dépêches par estafette de la petite ville de Vith et attendit à Munich une réponse qui lui fut transmise verbalement par l'intermédiaire du prince de Wrède (baron de Meneval, Souvenirs historiques, 2e édition, t. II, 382 et. suiv.). Quelques .jours avant la bataille de Waterloo, il fut nommé maître des requêtes au Conseil d'Etat.

A la rentrée des alliés en France, Stassart revint en Belgique, se fixa à son château de Corioule, et partagea quelque temps ses loisirs entre la culture de ses terres et celle des lettres. En 1821, la province de Namur l'envoya siéger à la seconde Chambre des Etats-Généraux du royaume des Pays-Bas. « Il y brilla, dit un de ses biographes, .par son éloquence et son patriotisme et rendit de grands services en se rangeant dans l'opposition qui voulait empêcher la Belgique de voir ses intérêts sacrifiés à ceux de la Hollande. Le moment arriva où il ne lui fut plus possible de concilier ses devoirs de patriote avec sa fidélité à l'ordre établi. Il fut contraint de chercher un asile sûr à Givet. d'où il envoya sa démission au secrétaire d'Etat à      La Haye.

Arrivé à Bruxelles le 30 septembre 1830, il prit une part active aux débuts de notre régénération nationale. Il était à la tête de la députation qui partit pour La Haye afin d'y solliciter du roi Guillaume le redressement des griefs que les Belges reprochaient au gouvernement de La Haye. Arrivée à Rotterdam, cette députation y fut accueillie par les insultes, de la foule et ce fut une occasion pour Stassart de faire preuve de l'énergie qu'on lui connaissait. De retour à Bruxelles, il fut nommé président du Comité de l'intérieur et gouverneur de la province de Namur. Envoyé au Congrès national par le district de Namur, il devint un des vice-­présidents de cette assemblée et s'y montra dévoué aux idées monarchiques.

. Il fut en même temps président de la commission chargée de préparer les lois provinciale et communale, Sénateur et, pendant sept ans, président du Sénat, il devint, en 1834, gouverneur du Brabant.

Il perdit ce poste par suite d'un dissentiment avec le chef du gouvernement et à la suite de sa réélection comme sénateur par trois arrondissements à la fois (Namur, Nivelles et Bruxelles) (1839) . Il avait été élu grand-maître de la franc-maçonnerie nationale. Il n'accepta, dit-on, ce titre que par déférence pour le Roi, dans le but d'éviter qu'on ne fit de cette institution, comme tout semblait l'annoncer, un moyen de correspondance clandestine avec La Haye. Quoi qu'il en fût, un mandement épiscopal fut lancé contre la franc-maçonnerie ; le ministère demanda à Stassart sa démission de gouverneur ; il la donna, En outre, lorsqu'il se convainquit qu'il ne pourrait maintenir, aux élections de juin 1841, à la Chambre des représentants, la députation de Bruxelles dans sa composition intégrale, il donna aussi sa démission de la grand'maîtrise maçonnique, persistant, quant au reste, dans sa ligne de conduite tout à la fois progressive et conservatrice.

Un autre incident provoqua de vifs commentaires (1847). En sa qualité de président de l' Académie royale, Stassart prononça, le 19 mai, un discours devant LL. AA. RR. le duc de Brabant et le comte de Flandre. Il eut des paroles sévères pour Jean Breydel et les meurtriers du comte d'Artois à la bataille des Eperons d'or. De violents murmures accueillirent ses paroles. Elles étaient en opposition, comme elles le sont encore aujourd'hui, avec le sentiment public. Ses amis lui demandèrent de les atténuer. Il s'y refusa. Aux attaques portées contre lui, dit Quetelet, il répondit avec une noble franchise qu'il n'avait jamais hésité de mettre au grand jour ses opinions et il ajouta : J'ai toujours dit la vérité, ou du moins ce que je pensais être la vérité, aux ministres de l'Empereur, à l'Empereur lui-même, aux ministres du roi Guillaume et aux tribuns populaires. C'est le plus sûr moyen de déplaire aux deux camps ennemis ; mais, suivant un vieil adage: La raison finit toujours par avoir raison ». « Il justifia ses tendances françaises, ajoute Quetelet, par des raisons tirées du maintien de notre nationalité, etc. Il semble qu'il eût suffi de dire que Stassart, ancien fonctionnaire français, marié à une Française qu'il adorait, avait conservé de grandes sympathies pour la France. Son patriotisme belge n'a jamais été suspecté.

Sur ces entrefaites, le Roi lui avait donné une preuve de confiance sympathique et comme un dédommagement pour les ennuis que lui avait causés l'affaire de la maçonnerie. Il l'envoya à Turin, chargé d'une mission spéciale, en qualité d'envoyé extraordinaire et de, ministre plénipotentiaire (1840) ; Stassart se mit en rapport avec les principaux savants de l'Italie et reçut du roi de Sardaigne de flatteuses marques de distinction.

Revenu dans sa patrie en passant par la Provence, dans le but de revoir son ancien département de Vaucluse, où il reçut de nombreuses ovations, il se fixa à Bruxelles et se consacra de nouveau aux affaires publiques et plus encore à des travaux littéraires. Toutefois, en 1847, il cessa de siéger au sénat ; il cessa également de faire partie du conseil communal de Bruxelles et de différentes commissions. Ce qui le décida à quitter complètement la politique et à ne plus vivre qu’au milieu d’un cercle d'amis, ce fut la perte cruelle qu'il fit le 8 juillet 1849. La mort le séparait brusquement de sa compagne aimée.

http://www.btinternet.com/~malcbenn/Im000843.gifhttp://www.btinternet.com/~malcbenn/Im000844.gifIl contribua grandement avec le baron de Gerlache à donner de la vie et du relief à l'Académie royale de Belgique, dont il fut, avec son éminent confrère, président tour à tour et presque chaque année. « Personne plus que lui, a dit son ami Quetelet, n'avait à cœur les intérêts de la compagnie ; tout ce qui pouvait contribuer à sa prospérité, à l'avancement des lettres ou à l'illustration de la Belgique, devenait l'objet de sa sollicitude. C'est dans ces dispositions et par une bien noble initiative, qu'il fonda un prix en faveur de la meilleure notice sur un Belge célèbre. » Il fonda un autre prix destiné à récompenser le meilleur travail sur une question importante d'histoire nationale. Il dota richement l'Académie en lui léguant sa bibliothèque. sa collection d'autographes, les récompenses honorifiques qu'il avait méritées.

De même que Mme de Stassart, il fut emporté rapidement et par une maladie analogue, la cholérine. Il avait demandé les secours de la religion. Il expira le 10 octobre 1854 et fut inhumé au cimetière de Laeken, à côté de sa femme. Il fut un des hommes remarquables qui honorèrent le premier quart de notre indépendance nationale.

Il avait montré des talents précoces. A peine âgé de quatorze ans, il débuta dans la carrière littéraire par une traduction des Méditations religieuses d'Eck­hartshausen, que les critiques s'accordent à considérer comme une des meilleures d'un ouvrage, où la conception s'enveloppe parfois de formes un peu nébuleuses. L’émigration le retenait alors avec sa famille dans une petite ville de la Westphalie. Il nous a conservé les premiers vers qu'il fit à la même époque, ils portent la date de 1796, et sont adressés à sa mère, sa première éducatrice. »

Il n'est guère de matières ni de genres qu'il n'ait abordés.

Les Fables seront pour le baron de Stassart son principal titre de gloire littéraire ; ce qui les distingue surtout, c'est une verve et une facilité de style constamment soutenues. La morale se déduit toujours, on ne peut plus logiquement, du récit. Elles eurent l'honneur de dix éditions et de la traduction dans presque toutes les langues, Les critiques ont remarqué principalement dans ces Fables : le Pinson roi, le Trône de neige, le Léopard et l'Eléphant, lesquelles, au mérite de l'à-propos, joignaient celui du style et du bon sens. La fiction était cependant parfois assez transparente pour que l'on ne pût s'y tromper, et ceci explique le mauvais vouloir de la cour de La Haye pour le fabuliste, représentant de l'opposition.

Mentionnons encore, ne pouvant tout citer, l'Hirondelle et le Moineau ; la Chouette et le Soleil ; la  Mort du lion ; la Fourmi ; la Violette ; la Voiture mal dirigée ; les Loups et les Renards, toutes charmantes et pleines de simplicité et de naturel.

Les Epîtres, les lettres en vers, les imitations d'Horace ne comprennent que quelques morceaux détachés où le philosophe qu'était Stassart dépeint l'ennui des grandeurs et les chagrins dont, elles finissent, tôt ou tard, par être la source.

Deux Elégies méritent une mention particulière. Elles ont pour titres : le Tombeau de la religieuse et le Songe de la  vie.

Ses Contes offrent des passages d'une versification abondante ; on cite surtout, dans le Mariage de Vulcain et L’Avare,   le vers qui suivent :

« Par la main du bourreau sans doute

« Le trépas est un déshonneur ;

« Mais c’est au moins un grand bonheur

« D'être pendu sans qu'il en coûte. »

Ses Epigrammes sont autant de leçons vigoureusement appliquées.

S'il fut moins bon dans les Madrigaux, il se retrouva dans les Chansons, pleines de verve et de bonne philosophie, notamment dans celles qui ont pour titres : la Discrétion, l'Epicurien, le Tête à tête, la Méthode pour vivre heureux.

Ses Idylles, ses petits Dialogues épigrammatiques et moraux se rapprochent du même genre en vers dont nous avons donné une courte analyse.

Les œuvres de Stassart appartiennent à l'école franchement classique et ses critiques sont un véritable cours de littérature appliqué aux productions de son époque. Son érudition lui a permis de porter son analyse sur les objets les plus divers. Il a critiqué des ouvrages de science, d'art, des romans, des recueils philosophiques ou historiques. Il nous a fait connaître surtout la littérature de l'Empire et de la Restauration. Les Pensées de Circé furent accueillies avec une faveur presque égale à celle qu'obtinrent ses Fables. Elles se réclament du genre de la Rochefoucauld et elles ont le mérite d'être bien de leur temps.

Ses discours seraient presque l'histoire de sa vie politique comme celle de sa vie littéraire. Il était doué de belles qualités oratoires.

Ses œuvres historiques se composent, entre autres, de soixante-dix-sept notices biographiques et l'on classe également au nombre de ses travaux historiques les cinq discours qu'il prononça à l'Académie royale de Bruxelles et qui se rapportent à l'histoire nationale,

Au moment. où la mort l'a surpris, il mettait la main à ses Mémoires. Combien il est à regretter qu'il n'ait pu réaliser ce projet ! Car quels précieux renseignements notre histoire n'aurait-elle pas recueillis d'un homme si ami de la vérité et qui avait tant vu par lui-même !

Dupont-Delporte a réuni les Œuvres complètes de Stassart, dans un fort volume, grand in 8° à deux colonnes de 1087 pages. Paris, 1855. - Nous ne pouvons qu'y renvoyer.

Le baron de Stassart était ministre plénipotentiaire, ancien vice-président du Congrès, ancien président du Sénat, chambellan actuel de l'empereur d'Autriche, membre de l'Académie royale de Belgique et d'un grand nombre de sociétés savantes, correspondant de l'Institut de France et du Comité des travaux historiques qui est attaché au Ministère de l'instruction publique à Paris, etc. Il présida le Congrès scientifique de France, à Orléans en 1851 et à Arras en 1853. Il était officier de l'Ordre de Léopold, grand-officier de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de fer, grand-croix de l'Ordre polonais de Saint-Stanislas, chevalier de l'Etoile polaire en brillants, de l'Ordre Tyrolien, de l'Ordre du Mérite civil de Bavière, etc.

Baron de Borchgrave.

 

INTERVENTIONS AU COURS DE LA SESSION 1830-1831 (Congrès national)

 

(00) Vérification de ses pouvoirs comme membre du Congrès (10/11/1830)

(00) Démission en tant que membre du Congrès (17/02/1831)

(01) Règlement d’ordre intérieur du congrès national (10/11/1830, 11/11/1830, 12/11/1830, 13/11/1830, 15/11/1830)

(02) Adresse en réponse au discours du gouvernement provisoire (11/11/1830)

(03) Démission du gouvernement provisoire et proposition de proroger sa mission (12/11/1830)

(04) Nomination d’une commission de constitution (15/11/1830)

(05) Rapport de M. Van de Weyer sur le résultat de sa mission à Londres (16/11/1830)

(06) Question de la priorité à accorder à la proposition relative à l’exclusion des Nassau et à celle relative à la forme du gouvernement (16/11/1830)

(07) Mani­feste résumant tous les griefs du peuple belge (18/11/1830)

(08) Forme du gouvernement de la Belgique (19/11/1830, 20/11/1830)

(09) Exclusion des Nassau de tout pouvoir en Belgique (23/11/1830)

(10) Propositions tendant à réclamer communication de pièces diplomatiques (24/11/1830)

(11) Volontaires (06/12/1830)

(12) Administration de la sûreté publique (11/12/1830)

(13) Question du sénat (16/12/1830, 17/12//1830, 18/12/1830)

(14) Constitution. Naturalisation des étrangers (20/12/1830)

(15) Traité de commerce avec la France. Renvoi d’une pétition (22/12/1830)

(16) Constitution. Indépendance des cultes vis-à-vis des pouvoirs publics, notamment question de l’antériorité du mariage civil sur le mariage religieux (22/12/1830, 23/12/1830)

(17) Budget des voies et moyens pour 1831. Contribution foncière et contribution personnelle (28/12/1830)

(18) Question du chef de l’Etat (Nemours-Leuchtenberg) (12/01/1831, 14/01/1831, 18/01/1831, 19/01/1831, 28/01/1831, 31/01/1831, 02/02/1831, 04/01/1831)

(19) Administration de la sûreté publique (15/01/1831)

(20) Incident diplomatique (Lettre de M. le comte Sébastiani sur les propos recueillis par Firmin Rogier) (17/01/1831)

(21) Proposition tendant à déclarer faux le compte rendu du comité général du 16 janvier, donné par l'Émancipation, et consacré aux protocoles du 9 janvier 1831 (17/01/1831)

(22) Constitution. Désignation du bourgmestre (25/01/1831)

(23) Protestation contre le protocole du 20 janvier 1831 contenant les bases de séparation entre la Belgique et la Hollande (29/01/1831)